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Le grand virage stratégique de Bayrou, des retraites contre des missiles : comment vos retraites pourraient financer l’armée française

des retraites contre des missiles

Un virage stratégique contesté

François Bayrou propose de « négocier » sur les retraites pendant que la droite change de priorités. Les Français demandent l’abrogation de la réforme des retraites. Pourtant, le gouvernement parle désormais d' »amélioration ». Le Figaro, propriété du groupe Dassault, a publié une interview révélatrice du Premier ministre. Une nouvelle doctrine émerge clairement. Elle consiste à réduire les aides sociales pour financer l’armement face aux tensions internationales.

Le double discours sur le droit international

Bayrou affirme que l’invasion de l’Ukraine a changé notre monde. Il déplore que « la loi internationale » ait cédé place à « la loi du plus fort ». Ce raccourci historique ignore les nombreuses violations antérieures du droit international. Les exactions américaines en Asie et l’invasion de l’Irak en 2003 en sont des exemples frappants.

La position française manque de crédibilité sur ce sujet. Le gouvernement dénonce les crimes de guerre russes documentés par Amnesty International. Mais il soutient Israël malgré des accusations similaires contre ce pays.

Une légitimité démocratique contestable

Bayrou se plaint d’avoir été nommé « sans budget, sans majorité ». Cette lamentation semble déplacée compte tenu des circonstances de sa nomination. Emmanuel Macron a ignoré le verdict des urnes aux législatives.

La gauche unie avait remporté ces élections avec un programme incluant l’abrogation de la réforme des retraites. Le Premier ministre n’a donc aucune légitimité démocratique. Sa nomination, comme celle de Michel Barnier avant lui, représente une confiscation du vote populaire.

Des négociations vouées à l’échec

Les discussions sur les retraites semblent être une mascarade. Bayrou a fixé une condition qui garantit leur échec. Si les négociations échouent, la réforme s’appliquera telle quelle. L’économiste Michael Zemmour l’a souligné dans Mediapart.

Cette approche incite ceux qui soutiennent la réforme à bloquer toute avancée. Le président du Medef l’a confirmé dans Le Monde. Il refuse catégoriquement de céder sur l’âge de départ à 64 ans. Il demande même d’autres coupes dans l’assurance-chômage et l’assurance-maladie.

L’argument militaire pour justifier l’austérité

La droite utilise désormais la menace russe comme prétexte pour ses politiques économiques. Laurent Wauquiez veut « arrêter de gaspiller trop d’argent dans l’assistanat » pour financer la défense. L’éditorialiste Nicolas Bouzou présente la retraite tardive comme un « impératif sécuritaire ».

Le Figaro évoque des « sacrifices » nécessaires pour « s’armer à grande vitesse ». Cette rhétorique masque une réalité simple. Les principaux bénéficiaires seront les industriels de l’armement comme Dassault. Les sacrifices, eux, seront demandés aux salariés et retraités.

Conclusion

Bayrou évoque un possible référendum sur les retraites si les négociations échouent. Cette proposition ignore une réalité fondamentale. Les Français se sont déjà prononcés lors des législatives de juillet. Ils ont voté majoritairement pour la gauche qui promettait d’abroger la réforme.

Macron a ignoré ce résultat en nommant Bayrou. Cette situation révèle un profond mépris pour la volonté populaire. Le gouvernement actuel préfère satisfaire les intérêts économiques des plus fortunés au détriment des citoyens ordinaires.

Conclusion

Bayrou évoque un possible référendum sur les retraites si les négociations échouent. Cette proposition ignore une réalité fondamentale. Les Français se sont déjà prononcés lors des législatives de juillet. Ils ont voté majoritairement pour la gauche qui promettait d’abroger la réforme.

Macron a ignoré ce résultat en nommant Bayrou. Cette situation révèle un profond mépris pour la volonté populaire. Le gouvernement actuel préfère satisfaire les intérêts économiques des plus fortunés au détriment des citoyens ordinaires.

Conclusion

Bayrou évoque un possible référendum sur les retraites si les négociations échouent. Cette proposition ignore une réalité fondamentale. Les Français se sont déjà prononcés lors des législatives de juillet. Ils ont voté majoritairement pour la gauche qui promettait d’abroger la réforme.

Macron a ignoré ce résultat en nommant Bayrou. Cette situation révèle un profond mépris pour la volonté populaire. Le gouvernement actuel préfère satisfaire les intérêts économiques des plus fortunés au détriment des citoyens ordinaires.

Conclusion

Bayrou évoque un possible référendum sur les retraites si les négociations échouent. Cette proposition ignore une réalité fondamentale. Les Français se sont déjà prononcés lors des législatives de juillet. Ils ont voté majoritairement pour la gauche qui promettait d’abroger la réforme.

Macron a ignoré ce résultat en nommant Bayrou. Cette situation révèle un profond mépris pour la volonté populaire. Le gouvernement actuel préfère satisfaire les intérêts économiques des plus fortunés au détriment des citoyens ordinaires.

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