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Ces étudiants Écossais ont voté pour installer 50 000 euros de « capsules de sieste » à la fac… Vous êtes jaloux ? Nous aussi !

étudiants Écossais ont voté pour installer 50 000 euros de « capsules de sieste »

Une décision estudiantine historique

L’Université d’Édimbourg fait parler d’elle avec un vote étudiant sans précédent : 84% des votants, sur près de 2000 suffrages exprimés, se sont prononcés en faveur de l’installation de capsules de sieste ultra-modernes. Cette initiative pourrait faire de l’établissement écossais le premier au monde à adopter un tel système de repos high-tech sur son campus.

Une technologie de pointe pour le bien-être

Ces capsules futuristes ne sont pas de simples lits. Véritables concentrés de technologie, elles offrent une expérience de repos optimale avec diffusion de lumière douce, musique relaxante synchronisée avec les ondes cérébrales, et un système de réveil progressif combinant vibrations légères et variations lumineuses. Cette technologie, déjà adoptée par des géants comme Google dans la Silicon Valley, prouve son efficacité en entreprise.

Un investissement qui fait débat

Le projet représente un investissement conséquent de près de 50 000 euros, avec des capsules coûtant environ 12 000 euros pièce. La principale critique porte sur le rapport coût-bénéfice : quatre capsules pour environ 30 000 étudiants soulèvent des questions légitimes sur l’accessibilité et l’efficacité du système.

Les bienfaits scientifiquement prouvés

Selon le Dr Charles Czeisler de l’école médicale d’Harvard, le sommeil est un pilier fondamental de la santé et de la performance académique. Les études démontrent que les étudiants en enseignement supérieur souffrent fréquemment de manque de sommeil, impactant négativement leur concentration et leur créativité.

Une tendance mondiale

Cette initiative s’inscrit dans une tendance mondiale de reconnaissance de l’importance des micro-siestes. Au Japon, par exemple, la sieste au bureau est encouragée pour optimiser la productivité. En France, certaines universités comme celle de Lille ont déjà installé des dispositifs similaires, démontrant un intérêt croissant pour le bien-être étudiant.

Conclusion

Bien que l’investissement soit conséquent, cette initiative pourrait marquer un tournant dans l’approche du bien-être étudiant en milieu universitaire. Cependant, la question reste posée : ne serait-il pas plus judicieux d’investir dans des solutions plus accessibles, comme une salle de repos collective aménagée pour tous les étudiants ?

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